Vertus médicinales

Saint Trémeur, chapelle magique

A l'écart du bourg du Guilvinec, elle est peu connue des touristes et ignorée des guides. Elle est pourtant très belle de proportions et possède un clocher magnifique à fût tronconique. Elle a aussi, et surtout, la chance d'être vraiment seule de son espèce à posséder l'étonnante particularité de pouvoir soigner le corps physique de ses fidèles en deux emplacements distincts de la nef.

Lorsqu'on pénètre à l'intérieur, il est difficile de comprendre rapidement le bien fondé du choix architectural. La nef est en effet très étroite : 4,50 mètres de large pour 22 mètres de long. Une arcature sur piliers ronds la sépare d'un bas-côté, lui aussi, très étroit : 3,50 mètres sur la même longueur. Tous cela paraît étrange. Un demi faux transept apporte du jour à l'autel car la nef est très sombre lorsque les deux belles portes du côté sud sont fermées. Cette extension est exactement de mêmes dimensions que le temple ancien situé sous l'autel (et qui vibre encore).

Ce temple est placé sur le croisement de plusieurs flux de métaux rares : le palladium, l'antimoine et le manganèse qui, à eux seuls, produisent l'énergie suffisante à l'étoile à sept branches. Cette dernière a un taux vibratoire considérable qui est de 5 400 000 unités Bovis. Ses nombres magiques sont 14, 62 et 217. Elle vibre en Sol-1 de la gamme égyptienne.

Phénomène très rare, les radiations des métaux thérapeutiques de l'autel ne sont pas les seuls dans la chapelle. On trouve encore celles d'un flux du lithium qui traverse accessoirement le temple et d'un flux de sélénium, hors du temple, mais en travers de la nef. Voila l'explication d'une présence insolite, celle que l'on croyait être deux autels secondaires posés de guingois au milieu des fidèles. Lorsqu'on sait qu'un courant d'eau souterrain passe sous la nef en zigzaguant, on s'aperçoit alors que chacun des faux autels correspond exactement, en dimensions, à ce qui se passe sous lui. La longueur du bloc de pierre est égale à la largeur du courant d'eau et sa propre largeur à l'épaisseur du flux des radiations du métal concerné, les deux étant différents. En fait, ces deux blocs de pierre sont des tables d'offrande qui matérialisent des emplacements propices au traitement thérapeutique des maladies physiques. On peu imaginer que, dans les temps anciens, ces lieux étaient indiqués autrement hors du temple. Le taux vibratoire, sur les deux plages de soins, est de 720 000 unités Bovis, voulu et calibré avec minutie pour être médicalement efficace. La pénombre était donc voulue.

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Au moment de la construction de cette chapelle on ne mettait pas de chaises aux paroissiens. Ils s'asseyaient par terre. L'arcature de la nef correspond bien aux limites des zones efficaces et on peut avoir une pensée émue pour les constructeurs, moines-architectes humbles et talentueux qui nous laissent une œuvre unique.

La chapelle Saint-Trémeur, un ancien temple celte

Nos très lointains ancêtres plaçaient toujours leurs temples sur des terrains renfermant dans leur sol certains métaux  très rares, décelés par leur propre vibration.

Les constructions chrétiennes les ont camouflés tout en se servant de leur énergie, toujours active.

Parmi ces temples multi-millénaires, certains vibrent plus que d'autres et d'une manière très particulière, due à la présence sur eux d'une énergie d'origine spirituelle en forme d'étoile à sept branches.

C'est le cas de douze chapelles en Bretagne où l'on a répertorié douze métaux :

Trémalo en Pont-Aven (29S)

Saint Samson en Landunvez (29N)

Saint-Fiacre du Faouët (56)

Saint-André du Corboulo en Saint-Aignan (56)

Kernascleden (56)

Notre-Dame de la Joie en Penmarc'h (29S)

Saint-Trémeur du Guilvinec (29S)

Notre-Dame de Port-Blanc (22)

Notre-Dame de la Clarté en Ploumanac'h (22)

Kermaria-an-Iskuit en Plouha (22)

Notre-Dame de Kerfons en Ploubezre (22)

Saint-Gonéry en Plougrescant (22)

 

La chapelle Saint-Trémeur aux vertus médicinales

Si la fontaine guérissait les maux de tête, cet état de fait étant vraisemblablement dû à la décapitation du saint éponyme, l'intérieur de la chapelle, qui serait magique, aurait des vertus thérapeutiques.

Certains métaux, détectés par leurs radiations sous les tables d'offrande, tels le sélénium qui présente des analogies avec le soufre lequel est utilisé comme laxatif doux (nettoyage des intestins) et en dermatologie (maladies de la peau) et le lithium dont les sels sont utilisés comme régulateur de l'humeur, donnent à ces lieux de méditation la réputation d'être alors des tables thérapeutiques.

Une statue de saint Roch, aujourd'hui disparue, aurait séjourné dans la chapelle.

Quand on sait que ce saint guérisseur était invoqué pour le choléra (maladie qui frappe les intestins) et les maladies de peau, ces coïncidences peuvent étonner !

Cette chapelle était aussi réputée pour guérir les maladies contagieuses, comme ...saint Roch !